Le père de mon père était kabyle. Il parlait une langue que je ne comprends pas mais qui, encore aujourd’hui, produit sur moi un effet étrange et délicieux… Un parcours sensible où le merveilleux, l’étiologique et une parole personnelle se rencontrent. Une galerie de personnages qui découvrent le monde et s’inventent un chemin à travers le labyrinthe des origines. À l’heure du village global, un peu de vent dans les racines, comme un grand bol d’air qui rafraichit les oreilles, qui réinvente le monde.
1 heure – Tous publics, dès 10 ans.
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Extraits, en trio avec Jaafar Aggiouri (clarinette) et Qais Saadi (Oud), Philharmonie de Paris.
Hassan
Yacine